Aiden Cedrella

"On examine avec soin les objets dans les boutiques, mais quand il s'agit des gens, on les juge sur l'apparence. " [de Cyrène] CEDRELLA.AIDEN #Feat Ian Somerhalder

Nom : Cedrella, un nom bien connu dans les familles dites de sang purs, mon nom, il peut parfois engendrer des frissons aux autres élèves, mais pour moi, c'est plus un nom banale, pas trop moche, qui me permet d'avoir quelques avantages, bien qu'à cause de Lui, je sois obligé de refouler la personne que je suis au fond de moi... Prénoms : Aiden. Un prénom peu porté en Grande Bretagne. Mes parents voulaient quelque chose de spécial pour leur enfant unique, alors, ils sont allés puiser dans les nouveaux prénoms américain, et même si c'est un peu spécial et bien, je dois avouer qu'ils n'ont pas eu torts... pour une fois. Age : seize ans. Date de naissance : le jour du solstice d'hiver, c'est à dire un 21 décembre, l'année, et bien 1981. Lieu de naissance : Je suis né en Roumanie, chez mes grands parents maternels. Activité à Poudlard : Je ne suis qu'un élève... pour le moment. Année/Maison : Je viens de débuter ma sixième année chez les Slytherin

Magic In Your Boots_

Baguette : Ma baguette est faite en bois de gommier jaune, un bois rare provenant directement d'Australie du sud-est. Ce bois rare, n'est généralement pas utilisé pour fabriquer des baguettes puisqu'il est trop souple. Pour ma part, je trouve que cette dernière particularité n'est pas forcément vraie, on va dire que certes, c'est souple mais pas trop... A l'intérieur de cette baguette, il y a quelques crin de Centaure. Ma baguette est plutôt efficace quand il s'agit de métamorphose ou de défense contre les forces du mal...
Animal de compagnie : Je n'ai pas d'animal de compagnie qui m'accompagne à Poudlard, néanmoins, chez mes parents, je possède un petit serpent vert bouteille rayé de noir et ayant des yeux couleur ambre. Je l'ai surnommé Keamy, un nom que je trouve mignon et qui me fait pensé à Creamy, à vrai dire, ce petit serpent est une véritable petite crème.
Epouvantard : Mon épouvantard... c'est moi-même. Compliqué à comprendre ? J'ai peur de moi, moi, ce que je suis tout simplement. Peur que jamais personne ne me comprenne, et ainsi, mon simple reflet me fait peur. Mais j'ai également peur de comprendre moi-même qui je suis. Pour le moment, tout est confus, et même si une grande partie de moi semble comprendre, je ne peux point me l'avouer, et surtout, j'ai peur du regard que mes parents pouvaient avoir sur moi...
Patronus : Mon patronus est un hippopotame nain, j'aime beaucoup cette forme, elle me ressemble, enfin pas physiquement, mais représentativement. Après avoir vu cette forme brillante, je me suis renseigné un peu sur cet animal dont j'ignorais toutes particularités. Après mainte et mainte recherches, j'ai pu voir que l'hippopotame nain passait les trois quarts de son temps dans la forêt, dans les marais ou dans leurs terriers. Bizarrement, je suis tout simplement pareil. Mis à part quand je suis en cours, je suis les trois quarts du temps soit, dans la forêt interdite, soit dans la salle commune, ou bien à côté du lac. De plus tout comme l'hippopotame nain, ces trois endroits sont pour moi des moyens de me cacher, me cacher du regard des autres et surtout de tout se tralala autour des nouveaux, ou autour de la guerre qui a commencée.

Options choisies : Bien que cela ne plaise pas à mes parents, j'ai choisis de prendre divination. Pour moi,cela était une matière intéressante, du moins, jusqu'à ce que je connaisse un peu mieux Mme Trelawney... Maintenant, je regrette un peu mon choix,mais les O sont faciles à avoir donc je m'en contente. De plus, j'ai prit runes anciennes, ma mère m'en parle depuis que je suis tout petit, donc pour moi, cette matière est comme un énorme gâteau au chocolat que je déguste avec délectation...

Get follow your road_

La normalité ? Franchement, qu’est-ce que cela ? Suis-je normal ? Sommes nous tous… normaux ?! La question est compliquée, car franchement, qui sais ce que normal est ?! N’est-ce pas un mot vraiment subjectif ? Un mot que tout le monde utilise mais qui peuvent avoir différentes manière d’être expliqué. Parfois, quand je me rends à Londres, je vais dans cette petite librairie sur l’Elvaston place, près du musée d’histoire naturel et j’y prends quelques bouquins que je lis le soir au manoir. Ces bouquins parlent de ces sciences que les moldus nomment humaine, et plus particulièrement la philosophie et la psychologie. Bizarrement et bien qu’ils s’agit de livres ne parlant pas de mon rang, de mon sang, je m’y retrouve vraiment. Quand j’entends mes parents parler qu’il est normal que je me marie avec miss Auxley, ou quand j’entends leurs paroles avec leurs amis sur le fait qu’il soit normal de vivre en haïssant les trois quart de la population tout ça parce que nous, nous, sang purs, nous valons mieux qu’eux. Est-ce vraiment normal ? La normalité ne viendrais donc pas de la majorité des gens, puisque en tant que sang pur, nous sommes en voie d’extinction, mais elle viendrait d’un comportement qui s’emblerait naturel. Dans ces livres, les moldus parlent souvent de la subjectivité de ce mot… suis-je normal ? Je me suis toujours posé cette question. Non, je sais qu’être sorcier n’est pas une « normalité » en soit, mais est-ce que MOI, je suis normal ?! Certains pensent que le normal provient d’abord du point de vue de la maladie, mais je ne suis pas malade, c’est juste que je les préfère, c’est ma façon de penser, de voir la vie de voir MA vie… MA différence.

Je suis un jeune homme, de quoi seize ans… ma vie pour le moment n’a été dicté que par mes géniteurs, mes…parents. J’ai plutôt du mal avec ce mot, car même si ma mère a toujours été là d’une façon ou d’un autre pour moi, mon père reste un inconnu. J’ai grandit seul. Les seules fois où ma mère était vraiment présente, c’était quand elle voulait m’apprendre à devenir meilleur, plus… puissant. Quand c’était pour avoir un contrôle entier sur ma vie, sur mes choix sur mes intentions. Elle m’a apprit énormément de choses, et rien que pour cela, je devrais la remercier. Mais elle n’a jamais été une mère, jamais elle ne m’a prise dans les bras, ou elle m’a réconforter quand j’allais mal. Mon père, il travaille au ministère et il ne s’est jamais vraiment occupé de moi, c’était le boulot « des bonniches » comme il les appelaient. Il avait -avec ma mère - décidé du comment serait mon avenir. Une fois Poudlard fini, je devrais reprendre l’affaire familiale encore dirigée par mon grand père paternel, je devrais me marier à Araminta Auxley, une sang pur « comme ça doit être », et je devrais rejoindre les côtés du mage noir « comme tout les gens respectueux faisaient« . Un avenir qui me répugne.

Autant, dirigée l’affaire de grand père ne me dérange en rien, mais le reste… les fameuses bonniches, à savoir Juliet & Katherine, m’avaient inculqué l’inverse. C’était deux sœurs totalement opposées qui m’avaient élevé dans un vrai cocon d’amour, j’éprouvais pour elle ce que je pense aurait dû être l’amour pour ma mère. Elles étaient si attentives avec moi, elles m’écoutaient, elles m’aimaient tout simplement, ce qui, n’était pas arrivé avec mes géniteurs. Ainsi, grâce à elles, je pense que je suis devenue une personnes bien. Certes, je ne suis peut être pas un phénomène de vertu, ni une personne de ce qu’il y a de plus sage, mais je suis comme ça point. Jamais je ne pourrais faire de mal volontairement, même si parfois j’en suis obligé… le sang comprenez vous… Si je ne maltraite pas quelques enfants de parents moldus, ou si je traînais avec ces sang mêlés, mon père se servirait de sa puissance pour mon toucher, pas physiquement, mais un accident au manoir serait si vite arrivé… Kate ou Juliet… il m’avait déjà menacé par cette voix. Il avait comprit que le lien que j’avais avec elles étaient fort, puissant, et qu’en leur faisant du mal, il me ferait du mal.

Voilà l’éducation que mon cher père m’a donné. Une éducation de fer, du moins quand il était là. En fait c’était simple, 70% du temps, père était en affaires, que ce soit pour le travail, pour le mage, pour tout ce qui concerne ses affaires louches etc. 20% il m’apprenait à comment être un bon sang pur… et les 10% restant… c’était à coup de Doloris qu’il me corrigeais, c’était pour que je sois plus forts selon ses dire. Autant dire que, lorsque à onze ans, je reçus ma lettre pour Poudlard, je fut ravi, j’avais hâte. Je voulais goûter au plaisir, me faire des amis, rencontrer des gens. Mais, même là bas, mes géniteurs avaient le pouvoir, si jamais j’approchais une personne qui n’était pas pu, bizarrement, il arrivait une série d’évènement à la famille de mes amis, des évènements qui étaient loin d’être… heureux… j’étais censé rester dans les rangs point. J’étais là pour apprendre des bases et surtout pour me faire une place dans le monde sorcier. Pas une place dont je rêvais, pas celle de l’ami qui rigole avec tout le monde, même s’il avait été à Slytherin, comme toute sa famille avant lui, mais bien celle où je devrais réussir à me faire respecter, voir même celle où j’arriverais à faire peur à mes camarade rien que lorsqu'ils croiseraient mon regard. Ça me répugnais. Mes géniteurs me répugnaient. PIRE ! Je me répugnais.

Puis, comme si tout cela ne suffisait pas, en grandissant j’ai comprit que j’étais différents des « autres ». Enfin, j’avais comprit cela enfant déjà, c’était comme si quelque chose en moi me l’avait toujours dit, mais, en grandissant, tout cela s’intensifia. Ça arriva quand je croisa son regard. Un regard bleu océan dans lequel je nageais et coulait complètement comme si un poids m’avait soudain été attaché au niveau du cœur et de l’estomac. Mes yeux se posa sur sa bouche, bien dessinée, charnues, magnifique, ses bras, sa peau couleur du soleil, puis pour parfaire ce tableau, ses cheveux, ils étaient blond foncés, un ange se tenait devant moi, un ange des couleurs jaune et noir, un hufflepuff, il était en septième année, moi en quatrième, tout se bouscula dans ma tête. Comment pouvais-je être si attiré physiquement par un homme ? Un hufflepuff de surcroît ? Certes, je n’avais aucun a priori, mais si jamais quelque un s’en était aperçut, j’aurais pu signer moi-même l’arrêté de mort de mes « mamans », mon père se serait demandé qu’est-ce qu’elle avaient loupé avec son unique héritier… j’avais peur. Peur que cette différence fasse remplir de haine ce que je devais appelé mes parents. Alors je laissa mes attirances de côtés. Petit à petit je compris, les filles, les femmes… elles ne m’intéressaient pas. Certes, elles pouvaient être belles, magnifique, mais je ne ressentais pas ce TRUC que je ressentais avec les hommes… ce nœud dans l’estomac, te poids sur mes épaules. Durant un an je me suis caché, du moins, caché à tout le monde, y compris mes mamans, puis, durant ma cinquième année, j’ai avoué à Kate, la plus douce des deux sœurs. Alors que je pensais qu’elle ne me verrait plus de la même façon et comme je commençais à pleuré, elle réagit comme d’habitude, elle me prit dans ses bras et me fit comprendre que non, c’était pas une honte de l’être. D’être homosexuel. Enfin, on va dire que je suis bisexuel car même si les hommes m’attirent et que les filles non, et bien… il faut sauver les apparences avec toute la communauté magique. Ainsi, seule Kate serait au courant. Les autres…Ils ne verraient rien. Non je n’étais pas prêt à tout dire, faire mon coming out, ce n’était pas possible. Alors, comme pour la communauté je serais hétéro, pour moi, je continuerais d’être ce que je suis, pourquoi pas dire à mes rares amis que j’étais bi ?! Se serait plus facile à avaler pour tout le monde. Enfin, tant que mes amis ne le diraient à personnes… si ça venait aux oreilles de mes parents… mais cela n’était pas possible, des filles, je pouvais en avoir et les utiliser pour parfaire cette carapace…

J’ai beaucoup de mal à m’accepter tel quel. Je ne sais pas pourquoi je ne veux pas l’affirmer, Kate me dit que c’est pas une honte, au contraire. Mais moi, je bloque, j’ai peur. Je ne suis pas avec les rouge et or, je suis bien chez les verts et argents, ceux qui préfèrent sauver leurs peau que d’avouer se qu’ils sont. Ceux qui ont le courage de dire, merde ! Non, je ne suis pas comme ça. Je suis un suiveur. Un enfant modelé dans un moule dans lequel je n’arrive pas à rentrer. Je montre aux gens ce que je ne suis pas. Froid. Solitaire. Narcissique. Maniaque. Manipulateur. Égocentrique. Distant. Mesquin. J’en suis tout le contraire, mais personne n’a pu le voir. Personne. Je ne m’aime pas, je le dit tout le temps, enfin, je me le répète sans cesse, les autres, ils doivent pensé que je suis la petite tête remplie qui à hâte de prendre son service près du mage. J’aime mon physique, c’est la seule chose pour laquelle je ne mens pas. Après tout, qui n’aimerais pas ce corps qui m’appartient ?! Je suis un Dieu. Il faut juste s’y faire, et après, ça va tout seul. Toutes les filles bavent en me voyant… et je les comprends. Je tiens énormément de mon père, et pour ça je peux lui dire un énorme merci. Un patrimoine génétique c’est la seule bonne chose qu’il ai fait pour moi. Grand, blond vénitien, mes yeux couleur ciel dans lequel beaucoup d’avions on déjà volés en éclats, mes muscles saillants, ma bouche bien faite, mon teint pèche. Je peux dire que si vous avez besoin d’une définition pour la perfection, ne cherchez plus, je suis là. Il faut dire que le fait d’aimer autant ce corps qui est le mien et de détester tout ce qui fait Moi, m’aide énormément pour cacher aux autres ce que je pense. J’ai juste à jouer la carte du petit con égocentrique et personne ne cherche plus loin. Pratique n’est-ce pas ?

Behind the imaginary_

Célébrité sur l’avatar : Ian Somerhalder
Autre chose ? J'ai un multi-compte. donc je ne ferais que me répéter. [Lys]

Bienvenue.
Un autre serpentard,
Nananinanaire.

HAAAAAAAAAAannnn chui amoureuse mdrrr , moi faudrait
peut-être que je fasse une nouveau perso --' tu sais pourquoi ...
PTDRRR RE BIENVENUE <3 <3 <3 .